Nous avons décidé d'oublier la polémique au sujet de son prix (près de 290 millions d'euros sans compter le prix du terrain...), des cinq années de retard de construction (sur des alluvions et à l'emplacement d'une ancienne usine à gaz : il a fallu combler et dépolluer !), du coût élevé de son entretien et de l'aberration de sa situation (à proximité de l'autoroute, avec peu de recul pour admirer son imposante architecture), et d'aller visiter ce tout nouveau musée qui se veut très ambitieux.

Verrue de verre et de béton qui masque la perpective sur la colline de Fourvière ou exemple réussi d'architecture déconstructiviste ? (si, si, le mot existe...) 

Immense Cabinet de curiosités qui raconte l'Alpha et l'Omega du monde ou anarchique fourre-tout de plusieurs collections sans liens apparents ?

Chacun se fera son opinion...

En tous cas, si certaines salles sont déroutantes -car il faut beaucoup d'imagination philosophico-symbolico-métaphysique pour comprendre la logique du voisinage des collections- j'ai pour ma part été entièrement séduite par l'architecture intérieure et la scénographie des expositions.

En plus, nous l'avons visité en nocturne, ce qui a rajouté à la magie du lieu...

Jeu d'ombres chinoises à travers la vitre du musée avec vue sur la passerelle Raymond Barre

Le hall d'entrée

Donc, les expositions s'organisent autour des questions métaphysiques universelles : origines, place de l'homme dans la biodiversité, vie après la mort...

Voici quelques exemples de ce qu'on peut y trouver :

Oeuvre Inuit : La création du monde (albâtre, os de baleine, peau de caribou, griffes d'ours)

Dans la salle des Origines, il y a bien sûr des énormes bébêtes... dont un Camarasaurus reconstitué à 80% avec des os d'origine (ce qui est très rare) et racheté au musée de Thermopholis dans le Wyoming.

Des jeux de lumières projettent des ombres dignes de films d'horreur...

Celui-ci pourrait faire un lustre sympa...

Grosse bébête devant petit d'homme...

Il y a aussi la salle des petites bébêtes

Avant et après le régime...

La deuxième salle allie la déco au thème...

...moi, j'adore.

Des espèces disparues, comme celle-ci (mes proches reconnaîtront mon selfie...)

Des guirlandes de coquillages...

et là de papillons !

Dans cette salle,

 le cosmos...

...voisine le Panthéon Chinois...

...une divinité à mille bras (qui, en effet, a intérêt à être bien organisée si elle ne veut pas s'emmêler ses membres...)

... et Dark Vador (qui était un mec super bien organisé comme chacun sait)

Ici, un bouddha côtoie un boudin

Absolument rien à voir avec la légende précédente ! (quoique, dans ce musée hétéroclite, on ne sait jamais...)

 Dans la partie "l'homme échange et crée", une robe lumineuse fait face à...

 la préhistoire de la télécommunication qui elle-même jouxte...

l'ancêtre de l'accélérateur de particules... cherchez le lien ! (Moi je pense que c'est la vitesse : en effet, la communication est devenue plus rapide grâce au téléphone et moi je dévalise les boutiques de fringues de plus en plus vite !)

Cette vitrine est censée représenter les métaux qui ont permis aux hommes de créer les produits manufacturés... mouais !

Après d'où vient-on, bien sûr, où va-t-on...

On finit par le Cabinet des Merveilles...

... où les animaux servent à la déco !

Si ce petit article ne vous a pas donné envie de visiter le musée (ce qui serait dommage...), n'hésitez pas à aller quand même faire un petit tour dans le quartier des Confluences, qui aux portes de Lyon, offre de nombreux attraits culturels et commerciaux, avec de nombreux restos et bars branchés... sympa de nuit comme de jour !

Et on y fait de belles rencontres !

Après notre visite des attractions du côté Rhône, nous voilà donc revenus à la Fête des Lumières pour une deuxième soirée de balade, cette fois du côté Saône, depuis les Terreaux jusqu'aux Confluences.

Oui, parce que, pour vous rapporter toutes ces photos, c'est à chaque fois plusieurs kms dans les pattes !

Je vous mets d'ailleurs les conseils du site officiel... au cas où vous seriez tentés !

" Pour une Fête des Lumières tout en confort : à Lyon, comme partout ailleurs, l'hiver, il fait froid... et pendant la Fête on piétine beaucoup, alors pour affronter les éventuelles intempéries et les nombreux kilomètres parcourus, on oublie les codes de la mode : on enfile chapka, doudoune, mitaines et gants, et surtout on laisse les talons au placard pour une paire de bottes tout terrain !"

Ouais... ça rigole pas ! D'ailleurs, nous, on a bien respecté les consignes...

Moi j'ai mis mon ragondin...

et Norbert s'est (presque) déguisé en Hollande en visite au Kazakhstan!

PLACE DES TERREAUX :  Lyon, Terre aux Lumières (Cité Création)

L'animation de la place des Terreaux est un incontournable qui attire toujours une foule compacte... Heureusement, nous arrivons tôt sur la place et bénéficions de la première projection de la soirée, à 17h45... pas encore trop de spectateurs, du coup, on en profitera deux fois !

L'artiste a eu la bonne idée de mettre à l'honneur tout ce qui fait la spécificité de Lyon dans le domaines des Arts avec des clins d'oeil au Musée St Pierre, au Musée d'Art Contemporain, à l'Opéra et à la Biennale de la danse... C'est dynamique, coloré, plein de jolies idées (les tableaux qui s'animent, la danseuse de Degas qui perd son tutu pour revêtir un justaucorps quand elle change de tableau puis lance la musique d'un tango...) et pour couronner le tout, un génial mix danse classique /hip hop !

L'Hôtel de Ville transformé en scène d'opéra...

Le rideau s'ouvre sur les tableaux du Musée St Pierre

La tête de Méduse de Jawlensky

Hommage à Delaunay

La danse vient tout destructurer

Musique !

Tango

Danse classique et Hip hop

Bien sûr, cela se termine sur le symbole de la ville !

COUR DE L'HOTEL DE VILLE : Njörd, esprit du vent (Wecomeinpeace)

Des monolithes transparents dans lesquels volent des multitudes de plumes blanches.

Malheureusement, les gens ne semblent pas vraiment touchés par la poésie du lieu : on entend partout parler de "poulets morts" ! (d'ailleurs, moi aussi je me suis laissée tenter par les références alimentaires... mais c'est plutôt au niveau du système de soufflerie parce que c'était le même que pour les barbes-à-papa !)

PLACE SATHONAY : Salle de bal[let] (Aurélie Le Gougouec)

Pour nous y rendre, il nous faut contourner la Place des Terreaux et...  traverser une marée humaine discontinue ! C'est très impressionnant, surtout qu'il y a beaucoup d'enfants en ce dimanche soir... je ne voudrais pas être à la place des parents : quel courage ! (ou inconscience ?)

Une jolie petite surprise, cette installation qui habille les arbres de tutus et transforme le square en piste de danse, le tout sur des grands airs de valses...

et les couples qui virevoltent tandis que les enfants jouent avec les projections au sol...

Même Norbert n'a pas résisté : il s'est habillé de lumière...

En chemin nous avons croisé DUNDU, les Géants de Lumière

En famille...

GARE ST PAUL : Jackpot (Hélène Eastwood et Laurent Brun)

Une animation interactive autour des jeux de casino, genre bandit manchot, avec des thèmes différents (Egypte, Mexique, USA...)... rigolo !

Gagné !

CATHEDRALE ST JEAN : Color or not (Yves Moreau, Dar La Luz)

Une explosion de couleurs qui changent toutes les secondes... inutile de vous dire que prendre des clichés nets dans ces conditions relève de l'exploit ! Un spectacle psychédélique dont le principal objectif est de mettre en valeur la façade de la cathédrale (et le deuxième de nous décoller la rétine)... un vrai feu d'artifice de 7 mn !

Donc colors...

or not !

Les deux en même temps c'est encore mieux...

QUAIS DE SAONE et BASILIQUE DE FOURVIERE : Convergences

Pas grand chose sur les quais cette année...

...mais la boule à facettes installée en haut de la basilique a de jolis effets stroboscopiques...

et ça change de couleurs...

RUE DE LA CHARITE : Labo des Aspho (expérimentations étudiantes) 

La ville de Lyon a permis à de jeunes étudiants d'écoles spécialisées de la région de présenter des créations sur le thème de l'enfance. 

Images labo #8 : "Re-craie-ation" 

  Sculptures faites de sacs plastiques

PLACE CARNOT : les couleurs du jardin

Alternance de couleurs chaudes et froides : c'est super joli !

VOUTES SOUS PERRACHE : Voyage cinématographique (Studio Théoriz)

L'histoire du cinema, de la fin du 19e siecle jusqu'a un futur imaginaire...

EGLISE STE BLANDINE et COURS CHARLEMAGNE : Wall Flower et Palm Beach

Etonnant non ?

CONFLUENCES : Light me up (FC2)

48 spheres lumineuses dont les couleurs sont declenchees par des capteurs thermiques (desolee pour les accents, mon clavier vient de passer americain brusquement... je galere... d'ailleurs je n'ai toujours pas trouve le point d'exclamation)

Les gens font la queue pour declencher les sequences lumimeuses en posant leurs mains sur une console...

cq ;qrche / (oui ben, vous n'avez qu'a traduire)

L'HOTEL DE REGION : cathedrale d'eau et de lumiere (Les Orpailleurs de Lumiere)

On passe sous une fausse chute d'eau et on entre dans le hall pour admirer une projection de couleurs sur l'air du Kyrie de la Messe en Ut de Mozart (puree... ecrire Mozart avec un clavier americain, je vous dis pas l'exploit ! Ouais, j'ai trouve le !)

C'est beau, le seul problème, c'est qu'avec Norbert, je ne peux pas prononcer les mots "Hôtel de Région" sans qu'il me communique automatiquement le montant faramineux de dépassement du coût initial de la construction du bâtiment... (44 millions d'euros payés par les contribuables... ça gâche un peu la visite !)

LYON BY NIGHT : se promener dans Lyon la nuit, c'est aussi découvrir de belles surprises

comme la Maison du Crible

Le quartier des Confluences

et l'Eglise St Francois de Sales

dont la déco bleue nous a rappelé les églises du Québec...

où nous avons écouté des chants polyphoniques corses...

et qui présentait à l'entrée un immense panneau de contours de mains avec des remerciements à Marie (dont certains très bizarres...)

Parce qu'il ne faut pas oublier que la Fête des Lumières, c'est avant tout une célébration religieuse... Damned ! Du religieux dans l'espace public ? Les jours de la Fête des Lumières sont comptés !

Reportage de notre voyage au  Pérou suspendu...

Si vous souhaitez suivre en direct notre voyage en Polynésie et aux USA, cliquer sur la photo ci-dessous...

Oui, je sais, on se croirait dans un album de Tintin...  

Mais je vous assure, c'est la vraie dénomination de ce circuit avec Fram !

Donc, nouvel essai de départ au Pérou... comme il ne nous reste plus que 10 jours avant de décoller, on a l'espoir de ne pas être obligés d'annuler cette fois !

Voici notre programme :

1er jour : France - Lima

 Départ via Madrid. Arrivée à Lima en fin d'après-midi. Accueil et transfert à l'hôtel. Cocktail de bienvenue. Collation et nuit.

2e jour : Lima - Arequipa

 Visite du centre historique de Lima fondée en 1535 : la place d'Armes, l'extérieur de la cathédrale, le palais du Gouvernement, l'église de San Francisco et ses catacombes. Découverte du musée archéologique présentant un panorama complet des cultures péruviennes successives, de la préhistoire aux Incas. Déjeuner. Transfert à l'aéroport pour Arequipa (1 h 30 de vol environ). Installation à l'hôtel. Maté de bienvenue. Dîner et logement.

3e jour : Arequipa (2 335 m d'altitude)

 Visite d'Arequipa, deuxième ville du pays fondée en 1540 et surnommée la ville blanche, en raison des constructions en tuf volcanique : la place d'Armes, l'église de la Compagnie et ses cloîtres datant du XVIIe s, le belvédère de Yanahuara et sa vue splendide sur le volcan Misti. Continuation par le couvent de Santa Catalina, le plus grand monastère colonial du Pérou. Déjeuner dans une picantería. Après-midi libre pour découverte personnelle. Dîner et nuit.

4e jour : Arequipa - Puno (3 830 m d'altitude, 300 km environ)

Départ pour Puno. Traversée de la steppe désertique le long de la vallée de Quiscos en franchissant un col à plus de 4 500 m d'altitude. Continuation par la réserve nationale de Salinas et Aguada Blanca, où vous aurez peut-être la chance de voir des troupeaux de vigognes. Découverte des villages des hauts plateaux : Imata et son impressionnante « forêt de pierres », Lagunillas où l'on peut apercevoir des flamands. Traversée des villages de Santa Lucia et Juliaca. Déjeuner en cours de route. Avant l'arrivée à Puno, visite du site archéologique de Sillustani, importante nécropole préhispanique située à près de 4 000 m d'altitude. Visite d'une maison de campesinos. Installation à Puno. Temps libre. Maté de bienvenue. Dîner et logement.

5e jour : Le lac Titicaca (3 810 m d'altitude)

Journée d'excursion en bateau sur le lac Titicaca, le plus haut lac navigable du monde. Visite de l'île Uros, île artificielle en totora (roseau), où vit l'une des plus anciennes populations d'Amérique. Découverte de l'île de Taquile (3 950 m) et de ses habitants, d'origine Quechua, dont l'activité principale est le tissage. Déjeuner de spécialités régionales.

Continuation vers Llachon, sur les rives du lac. Accueil par les familles indiennes et pour ceux qui le désirent, partage des tâches quotidiennes : pratiques artisanales, préparation du repas. Après le dîner, soirée au coin du feu (selon météo). Logement chez l'habitant.

6e jour Llachon-Puno - Cusco (3 360 m d'altitude, 390 km environ)

Départ matinal en autocar vers Cusco à travers les superbes paysages de l'Altiplano et la cordillère des Andes en passant par le col de la Raya (4 335 m d'altitude). Déjeuner en cours de route. L'après-midi, arrêt au village d'Andahuaylillas, son église en adobe du XVIe s. surnommée «la chapelle sixtine des Andes». Arrivée à Cusco en fin d'après-midi. Installation à l'hôtel. Maté de bienvenue. Dîner et logement.

7e jour Cusco - La Vallée Sacrée - Urubamba (3 360 m d'altitude, 400 km environ)

Visite de Cusco, ancienne capitale de l'empire inca, fondée en 1200 et dont le nom signifie «nombril du monde». Découverte de la place d'Armes où se trouvent la cathédrale (visite extérieure) et le couvent  Santo Domingo érigé sur l'emplacement du Temple du Soleil. Continuation par la vallée de l'Urubamba, passage près de la forteresse de Sacsayhuaman. Arrêt à Awanacancha pour découvrir la fabrication artisanale des tissus. Déjeuner en cours de route. L'après-midi, visite du site archéologique de Pisac, surplombant le fleuve Urubamba et la vallée sacrée des Incas. Maté de bienvenue. Dîner et logement dans la vallée.

8e jour Le Machu Picchu (2 430 m d'altitude)

    Départ pour la visite du village inca d'Ollantaytambo, le seul de la région ayant gardé le plan de ville de l'époque inca. Continuation à pied vers la gare pour prendre le train vers le village d'Aguas Calientes. Continuation en autocar jusqu'à l'entrée du Machu Picchu, dans un site montagneux d'une
extraordinaire beauté au milieu d'une forêt tropicale. C'est sans aucun doute la création la plus majestueuse de l'empire inca à son apogée. Retour à Aguas Calientes, déjeuner et temps libre avant de reprendre le train pour Urubamba. Dîner et logement.

9e jour Urubamba - Cusco (3 360 m d'altitude, 100 km environ)

Visite de Chinchero, petit village du XVIIe s. réputé pour le tissage et sa belle église coloniale. Promenade dans le marché très coloré où les indiens en vêtements traditionnels vendent ou troquent leurs produits. Continuation par Maras, village préservant la beauté de l'architecture coloniale. D'avril à octobre selon leur ouverture, visite des salines de Maras datant de la civilisation inca. Déjeuner et visite de l'église de la Recolta. Retour à Cusco et visite du quartier des artisans de San Blas. Dîner avec spectacle folklorique. Logement.

10e jour Cusco - Lima  

Matinée libre à Cusco. Transfert à l'aéroport et envol pour Lima (1 h 20 de vol environ).    Déjeuner en arrivant. Visite à pied du marché indien de Miraflores. Dîner et logement.

11e jour Lima - France

Petit-déjeuner. Matinée et déjeuner libres. Transfert à l'aéroport et retour via Madrid. Dîner et nuit à bord.

12e jour Arrivée en France

Comme vous pouvez le voir, c'est un voyage où l'on nous donne l'altitude avant de nous informer des kilomètres... bon, va-t-on arriver à passer au travers des migraines, vertiges, étouffements, nausées, palpitations cardiaques et autres sympathiques symptômes du mal des hauteurs ?

Vous le saurez bientôt en suivant ce blog... j'ai l'intention d'emporter mon netbook mais je ne sais pas si j'aurai du temps (et du cerveau disponible) pour un reportage en direct !

Une fois n'est pas coûtume... c'est avec un prologue que débute le reportage de ce voyage au Pérou.

Mes lecteurs habituels (il y en a... si, si !) connaissent déjà ma passion pour les voyages et mon enthousiasme sans cesse renouvelé par les découvertes et les rencontres...

Toutefois, j'ai pu noter que certains commentaires laissent percer de la frustration, me reprochant de ne pas suffisamment donner mon avis ou mes impressions.

En fait, cette absence est un parti pris de ma part : il ne me semble en effet ni pertinent ni légitime d'imposer mes points de vue, de donner un avis tranché sur telle ou telle destination.

De façon plus subtile (car je sais l'être parfois... si, si !), je préfère laisser à mes photos et leurs commentaires le soin de révéler la beauté d'un pays, afin de permettre à mes lecteurs de se forger leur propre opinion en fonction de leurs goûts et de leurs centres d'intérêt...

Oui, souvent les photos parlent d'elles-mêmes, il n'est nul besoin de rajouter des mots qui seront de toutes façons toujours en deçà de la force émotive ou de la beauté des lieux...

Toutefois, je vais faire ici une exception à cette habitude et vous dire simplement ceci :

Allez au Pérou !

Bravez votre appréhension du mal des hauteurs (facile à dire pour nous deux qui sommes passés au travers*... mais les malades de notre groupe ont tous dit que ça en valait la peine !) et ne vous privez pas d'un voyage où vous irez de merveilles en merveilles : grandeur des paysages, gentillesse des habitants, richesse historique, authenticité, diversité, couleurs, odeurs, saveurs... tout est réuni pour faire de ce pays une destination inoubliable...

Alors comment faire honneur à toutes ces qualités ? Il m'a semblé qu'un carnet de voyages chronologique (bien que commencé en direct pour les 2 premiers jours...) serait réducteur et que, pour appréhender la diversité de ce pays, un reportage par thème serait plus judicieux.

Je n'ai toutefois pas la prétention (ni l'envie !) de faire un exposé savant et exhaustif : comme toujours, ce devrait être un reportage vivant, subjectif et incomplet, avec anecdotes et photos personnelles, et commentaires pas toujours très sérieux !

Ok, je reconnais que parfois mes écrits ne font rire que moi... mais, après tout, c'est déjà ça !

* on a pris de la coca 9ch 3 fois par jour dès notre arrivée à Lima puis on a carburé au mate de coca matin et midi, et aux bonbons et cookies à la coca régulièrement... attention, ne pas ingurgiter de la coca après 17h sinon, plus possible de dormir !

Et si vous êtes malgré tout atteint par le soroche, n'hésitez pas à faire venir un médecin : une simple intraveineuse d'un cocktail miracle vous remet sur pied définitivement en quelques heures !